Le Kazakhstan s’invite à Paris pour une magnifique Edition du Festival du Film du Kazakhstan en France qui s’est déroulé du 26 au 29 septembre 2019.
Le cinéma Lincoln Champs Élysées a déballé le tapis rouge pour cet événement inédit. Ce lieu est très symbolique pour les organisateurs, car c’est à Paris qu’Auguste et Louis Lumière ont organisés leur première projection publique au monde le 28 décembre 1895.
Pendant 4 jours consécutifs une sélection de 11 meilleurs films de genre varié produit par le Kazakhstan et/ou en co-production avec le Kazakhstan était à l’affiche pour une programmation basée sous le signe de la tradition, de la culture et de l’excellence. Le public a ainsi pu apprécier un panel de films de qualité, apprécier et découvrir un film où se mêlent richesse et diversité de la production du cinéma kazakhstanais.
Samal Yeslyamova est une célèbre actrice et la marraine kazakhe de la première édition du festival, elle représente la fierté du Kazakhstan car elle a été la toute première actrice de tout l’espace postsoviétique à obtenir le prix d’interprétation féminine au festival de Cannes, ce qui lui a permis de se propulser dans le monde du cinéma et de représenter dignement toutes les femmes de son pays pour ce 71ème Festival de Cannes où elle a remporté la prestigieuse palme d’or.
La projection du film Ayka pour l’ouverture de la cérémonie du Festival du Film du Kazakhstan est symbolique car c’est le film qui a donné à Samal Yeslamova son prix au festival de Cannes. Ce film est de tout premier intérêt car il s’agit d’une co-production kazakh, russe, chinoise et polonaise. C’est une œuvre très forte qui a permis d’exporter le nouveau cinéma kazakhstanais et c’est la raison pour laquelle les organisateurs ont décidé le programmer pour l’ouverture du festival.
L’ambition de André Ivanov, en tant que président de l’Association du cinéma kazakhstanais en France et organisateur du festival, était de créer un festival sur mesure avec une variété de films et de talents peu connus à l’international et ainsi faire découvrir la richesse et la diversité du 7ème art Kazakhstanais, permettant ainsi de découvrir ses différents univers et favoriser les co-productions et une plus grande coopération entre les cinéastes des deux pays (France et Kazakhstan).
Le cinéma Lincoln Champs Élysées a déballé le tapis rouge pour cet événement inédit. Ce lieu est très symbolique pour les organisateurs, car c’est à Paris qu’Auguste et Louis Lumière ont organisés leur première projection publique au monde le 28 décembre 1895.
Pendant 4 jours consécutifs une sélection de 11 meilleurs films de genre varié produit par le Kazakhstan et/ou en co-production avec le Kazakhstan était à l’affiche pour une programmation basée sous le signe de la tradition, de la culture et de l’excellence. Le public a ainsi pu apprécier un panel de films de qualité, apprécier et découvrir un film où se mêlent richesse et diversité de la production du cinéma kazakhstanais.
Samal Yeslyamova est une célèbre actrice et la marraine kazakhe de la première édition du festival, elle représente la fierté du Kazakhstan car elle a été la toute première actrice de tout l’espace postsoviétique à obtenir le prix d’interprétation féminine au festival de Cannes, ce qui lui a permis de se propulser dans le monde du cinéma et de représenter dignement toutes les femmes de son pays pour ce 71ème Festival de Cannes où elle a remporté la prestigieuse palme d’or.
La projection du film Ayka pour l’ouverture de la cérémonie du Festival du Film du Kazakhstan est symbolique car c’est le film qui a donné à Samal Yeslamova son prix au festival de Cannes. Ce film est de tout premier intérêt car il s’agit d’une co-production kazakh, russe, chinoise et polonaise. C’est une œuvre très forte qui a permis d’exporter le nouveau cinéma kazakhstanais et c’est la raison pour laquelle les organisateurs ont décidé le programmer pour l’ouverture du festival.
L’ambition de André Ivanov, en tant que président de l’Association du cinéma kazakhstanais en France et organisateur du festival, était de créer un festival sur mesure avec une variété de films et de talents peu connus à l’international et ainsi faire découvrir la richesse et la diversité du 7ème art Kazakhstanais, permettant ainsi de découvrir ses différents univers et favoriser les co-productions et une plus grande coopération entre les cinéastes des deux pays (France et Kazakhstan).
Il nous parle, dans Beluxemagazine de ce nouveau projet qui le passionne de faire briller le cinéma du Kazakhstan et qui lui a fait créer une agence de talents (Paris Meridian production),
« Le festival se compose d’une sélection de 11 films en tout avec 9 long et 2 courts métrages. Durant le Festival les projections ont été accompagnées d’un master class, avec à chaque fois un hommage spécial pour faire découvrir les talents du cinéma du Kazakhstan. Tous les films ont été projetés en version originale, entièrement sous-titrée en français.
Plusieurs personnalités du monde du cinéma kazakh, français et international tels que réalisateurs & réalisatrices, acteurs & actrices, producteurs & productrices, ont pu se plonger dans l’univers du Kazakhstan et découvrir de réelles histoires fascinantes qui mêlent authenticité et originalité.
De nombreuses personnalités du cinéma ont visité cette première édition : Maryam D’Abo, Nino Kirtadzé, Sergey Dvortsevoy, Samal Yeslyamova, Hervé Schneid, Victoria Yakubova, Aziz Beishenaliev, Natasha Mashkevich, Sanjar Madi, Rustem Abdrashov, Madina Esmanova, Altynay Nogerbek, Aruzhan Zhazilbekova, Dana Mussa et Alexandre Murphy, entre autres.
Avant la projection du film d’ouverture, nous avons pu écouter de la musique traditionnelle kazakhe interprétée par Aigerym Yersainova, musicienne (kobyz, syrnaï et d’autres instruments traditionnels) et fondatrice du centre culturel kazakh au sein de l’ambassade du Kazakhstan en France.
Cet événement unique n’aurait pas pu se réaliser sans le grand soutien de l’ambassade du Kazakhstan en France, de l’Assemblée du Peuple du Kazakhstan, de l’Eurasian Resources Group (ERG), de la société de production cinématographique nationale KazakhFilm et de différents partenaires. Les Prix du Festival du Film du Kazakhstan en France.
Le Prix la coopération cinématographique et de l’amitié a été remis à Mme Aktoty Raimkulova, Ministre de la Culture et du Sport du Kazakhstan, pour son soutien des talents kazakhstanais.
Le Prix du meilleur producteur, lui, a été remis à Arman Assenov pour sa contribution au développement de l’industrie cinématographique au Kazakhstan.
Par ailleurs, le Festival du Film du Kazakhstan a voulu mettre la femme à l’honneur à travers plusieurs films où elle détient un rôle clé :
Prix de la meilleure productrice du Kazakhstan est allé à Gulnara Sarsenova pour sa grande contribution au cinéma kazakhstanais avec de nombreux films cultes : « Mongol », « Tulpan », « La Voix de la Steppe », « Ayka » et beaucoup d’autres, Avec le Prix du Public pour Sergey Dvortsevoy pour « Ayka ».
Prix du Meilleur court-métrage : Aizhan Kassymbekova et Diana Ashimova. Prix du Meilleur film pour la transmission des valeurs morales et humaines : Aliya Nazarbayeva et Svetlana Korotenko pour « le Retour vers la mère ».
Le Prix du Meilleur duo d’actrices populaires : Altynay Nogerbek (mère) & Aruzhan Zhazilbekova (fille) pour « le Retour vers la mère ».
Prix du Meilleur film de fiction : Victoria Yakubova pour « Olma Djon : La Pomme d’Éden ». Avec le Prix du Meilleur acteur : Aziz Beyshenaliev pour « Olma Djon : La Pomme d’Éden ».
Prix du Meilleur acteur populaire : Sanjar Madi pour « Paris Song : l’incroyable destin d’Amre ». Avec le Prix du Meilleur film musical et populaire : Jeff Vespa pour « Paris Song : l’incroyable destin d’Amre ».
Prix du Meilleur Film historique et épique : Rustem Abdrashev « Le Khanat kazakh : l’épée de diamant ».
Prix de la Meilleure réalisation chorégraphique et cinématographique : Dana Mussa pour « Kieli Bi : Danse sacrée ».
Prix de la plus belle dédicace au cinéma mondial : Ermek Tursunov pour « Le Gardien de la lumière ».
Le prix du public a été décerné à Sergey Dvortsevoy.
Le Festival du Film du Kazakhstan tient également à remercier Emmanuel de La Houssaie et l’ensemble de ses partenaires qui ont tous contribués avec leur savoir-faire et leur patience à la réalisation de ce magnifique projet.
Après le lancement de cette première édition du Festival du Film du Kazakhstan en France, André Ivanov souhaite instituer cet événement, à l’image d’autres festivals cinématographiques, dans le temps et dans les esprits, aussi bien à Paris que dans d’autres villes européennes et ainsi continuer à partager sa passion du cinéma et faire découvrir les grands acteurs et réalisateurs de son pays le Kazakhstan.
Nous lui souhaitons le plein succès dans ce projet et lui disons « bravo » !
Bouchra KIBBOU
#FESTIVALDUFILMDUKAZAKHSTAN