La belle Marie Josephe Rose de Tascher de la Pagerie dite Joséphine de Beauharnais voit le jour le 23 juin 1763 dans l’île de la Martinique son histoire à fait le tour de la planète et ceux de ses magnifiques bijoux aussi.
Éperdument amoureux de la belle, Bonaparte l’épouse le 9 mars 1796 pour en faire son impératrice. Joséphine était une femme moderne, qui ne pouvait s’empêcher de tomber sous les charmes des plus belles oeuvres joaillieres de son époque qu’elle aimait porter avec élégance pour ne jamais passer inaperçue.
Josephine aimait se parer de bijoux aux pierres précieuses rares car elle savait qu’ils étaient pleins de beauté et de pouvoir. Les colliers, boucles d’oreilles, bagues, bracelets étaient des trésors pour Joséphine qu’elle aimait dévoiler lors de grandes cérémonies pour affirmer sa puissance et rivaliser avec les autres femmes de son rang.
Le célèbre collier de Joséphine est constitué de deux rangs de perles naturelles fines allant de 6,25 à 8,45 mm., avec 7 perles fines poires et d’un fermoir serti d’un magnifique diamant, il porte en lui toute l’âme de l’imperatrice Joséphine. Ce collier fût plusieurs fois représenté sur de nombreuses toiles, il possède une grande histoire car il fût porté par des femmes toutes aussi belles que puissantes.
Joséphine aimait les belles choses et les beaux bijoux en particulier. Très élégante et raffinée cette femme de goût etait une grande amatrice de bijoux,
Joséphine avait commandés deux bracelets à l’orfevre François Regnault Nitot. Légués à Eugène, ces bijoux furent ensuite donnés à ses filles Amélie et Joséphine.
Sur ces bracelet on peut lire les lettres initiales des noms des pierres précieuses composent les prénoms des deux enfants : Hessonite, Opale, Rubis, Turquoise, Emeraude, Nicolo, Saphir, Emeraude pour HORTENSE ; Emeraude, Uniaxe, Grenat, Emeraude, Nicolo, Emeraude pour EUGÈNE.
Sur le tableau réalisé par Henri François Riesener, Joséphine porte une parure de saphir et diamants. Ce splendide bijoux sera par la suite offert à sa fille la reine Hortense. À son décès,en 1814, l’ensemble de ses joyaux personnels furent remis à ses enfants, ils étaient estimés à plus de trois millions de francs.
Bouchra KIBBOU
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